Le président russe Vladimir Poutine a profité d’une rencontre ce mercredi, avec les ouvriers d’une usine à Nijni Novgorod, sur la rive Volga, qui était retransmise en direct à la télévision, pour annoncer qu’il se présentera pour un quatrième mandat à l’élection de mars 2018.
Une victoire placerait Poutine à la tête du pays jusqu’en 2024, lui qui a déjà passé près de 18 ans au pouvoir.
Le président russe a entretenu le suspense jusqu’au bout au sujet de sa candidature pour un nouveau mandat. Quelques heures à peine avant l’annonce de sa candidature à sa propre succession, Vladimir Poutine avait refusé de se prononcer sur le sujet alors qu’il était interrogé sur ce point lors d’un Forum de bénévoles de diverses Organisations Non Gouvernementales à Moscou. Avec une popularité supérieure à 60% selon les sondages dans le pays, sa réélection semble garantie.
Le Conseil de la Fédération (chambre haute du Parlement russe) doit encore officiellement décider de la date de l’élection, une décision qui lancera la campagne pour la présidentielle. Conformément à la loi russe, cette date doit être fixée d’ici une dizaine de jours.
Malgré les efforts du président russe pour entretenir le doute, peu d’observateurs doutaient de la candidature de Vladimir Poutine pour la présidentielle de l’année prochaine.
Son annonce apparaît comme une contre-attaque le lendemain de l’humiliation de la Russie qui s’est vue interdite par le CIO (Comité international olympique) de participation aux prochains Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang, en 2018.
Le président russe Vladimir Poutine a profité d’une rencontre ce mercredi, avec les ouvriers d’une usine à Nijni Novgorod, sur la rive Volga, qui était retransmise en direct à la télévision, pour annoncer qu’il se présentera pour un quatrième mandat à l’élection de mars 2018.
Une victoire placerait Poutine à la tête du pays jusqu’en 2024, lui qui a déjà passé près de 18 ans au pouvoir.
Le président russe a entretenu le suspense jusqu’au bout au sujet de sa candidature pour un nouveau mandat. Quelques heures à peine avant l’annonce de sa candidature à sa propre succession, Vladimir Poutine avait refusé de se prononcer sur le sujet alors qu’il était interrogé sur ce point lors d’un Forum de bénévoles de diverses Organisations Non Gouvernementales à Moscou. Avec une popularité supérieure à 60% selon les sondages dans le pays, sa réélection semble garantie.
Le Conseil de la Fédération (chambre haute du Parlement russe) doit encore officiellement décider de la date de l’élection, une décision qui lancera la campagne pour la présidentielle. Conformément à la loi russe, cette date doit être fixée d’ici une dizaine de jours.
Malgré les efforts du président russe pour entretenir le doute, peu d’observateurs doutaient de la candidature de Vladimir Poutine pour la présidentielle de l’année prochaine.
Son annonce apparaît comme une contre-attaque le lendemain de l’humiliation de la Russie qui s’est vue interdite par le CIO (Comité international olympique) de participation aux prochains Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang, en 2018.