Nouveau rebondissement dans le projet américain de bombarder la Syrie. La proposition russe de soumettre les armes chimiques syriennes à un contrôle international a complètement bouleversé l’agenda occidental.
Acceptée par Damas, la proposition de Moscou a également été saluée par l’Iran, l’autre allié inconditionnel du régime de Bachar Al Assad. Les autres capitales occidentales sont également prises au dépourvu. Résultat, le Sénat américain a reporté à une date indéterminée le vote qui était prévu mercredi 11 septembre pour valider d’éventuelles frappes.
De son côté, le président Barack Obama, qui se démenait pour convaincre les membres du Congres et l’opinion publique américaine de la nécessité de frappes contre le Syrie, est arrêté en plein élan guerrier.
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