Ces derniers temps, les forces de l’ordre algériennes ont reconduit à la frontière avec le Niger nombre de migrants subsahariens en situation administrative irrégulière.
Pendant le mois de septembre, ces migrants clandestins d’origine malienne, nigérienne ou guinéenne ont été arrêtés à Alger par la police. Ensuite, pendant plusieurs jours, ils ont été acheminés à Tamanrasset, localité située à 2 000 km au sud de la capitale algérienne, pour être finalement reconduits de l’autre côté de la frontière. Certains migrants ont rapporté avoir été libérés « dans le désert » fin septembre dernier.
Pourtant, le gouvernement algérien s’était engagé en juin dernier, au terme d’une campagne de dénigrement visant les migrants originaires d’Afrique noire, à revoir sa politique migratoire, régulièrement considérée comme raciste.
Abdelmadjid Tebboune, Premier ministre algérien à l’époque, avait annoncé à la tribune du Parlement un recensement des migrants dans l’objectif de leur délivrer une carte de résidence, qui leur permettrait de travailler légalement. Cette procédure devait servir à combler un manque de travailleurs dans l’agriculture et la construction, tout en combattant une montée du racisme.
Des milliers de migrants subsahariens provenant, en majorité, du Burkina Faso, du Mali et du Niger vivent en Algérie. Des groupes de défense des droits de l’Homme rapportent que la plupart de ces migrants travaillent illégalement et sont sous-payés.
2 comments
Les algériens crient TRES FORT NON aux subsahariens en Algérie.
Ces populations africaines du mali, niger, guinée, et le reste doivent quitter TOUS notre pays l’Algérie et arrêter les mensonges sur vos familles migrantes relâchées dans le désert, on ne veut pas de migrants subsahariens chez nous.
Les algériens crient TRES FORT NON aux subsahariens en Algérie.
Ces populations africaines du mali, niger, guinée, et le reste doivent quitter TOUS notre pays l’Algérie et arrêter les mensonges sur vos familles migrantes relâchées dans le désert, on ne veut pas de migrants subsahariens chez nous.